À ce train vertigineux…
En septembre, après sa visite d’Argentat, Gaston Vuillier se fait conduire sous un « ciel menaçant » aux tours de Merle, « une antique forteresse ignorée qu’on [lui] dit d’aspect fantastique et plantée sur un rocher sauvage […] perdue aux confins de la Corrèze et du Cantal, dans un pauvre pays, loin des voies ferrées ». Le trajet s’achève dans des conditions dantesques, le vent, la pluie, les éclairs rendant cette bâtisse encore plus remarquable.