Que de belles promenades…
Delphine de Girardin | Lettres parisiennes (1843)
Delphine de Girardin poursuit sa présentation de Bourganeuf — qui concilie eaux implacables avec ce « torrent que rien n’arrête » et élégance des femmes de notables — en évoquant les promenades qu’elle a faites dans cette nature qui ne saurait être autre que sauvage et mystérieuse, menée par un cheval indompté.